Le Collège de la Transcendance Technocratique
«C’est par le réel qu’on vit; c’est par l’idéal qu’on existe. Or, veut-on se rendre compte de la différence? Les animaux vivent, l’homme existe.»
Le collège de la transcendance technocratique ou simplement le collège est une école, mais plus qu’un simple lieu, il s’agit d’une communauté et d’une idéologie prônant le perfectionnement des connaissances de l’Homme. Le collège pousse la quête de compréhension plus loin que toute autre institution, rejetant l’éthique de recherche et toutes formes de limitations non légales.
Couleur : Les membres du collège portent les couleurs blanc et mauve. Le blanc tend souvent vers des tons de gris et d'argent.
Société et politique :
Avant tout une institution d’éducation supérieure, l’université métropolitaine, le collège possède une place de choix dans la société. Pour une modique somme, ils donnent les enseignements nécessaires à la formation des plus savants ingénieurs et chimistes de la Métropole. Une éducation du Collège signifie une expertise et un savoir-faire supérieur, parfois au coût d’une éthique douteuse.
Le Collège possède un bâtiment principal à l’intérieur de la Métropole d’où sont administrées les affaires quotidiennes. Dans ce bâtiment siège le doyen, le descendant du fondateur du Collège ainsi qu’un conseil d’administration composé de membres élus.
En dehors de la Métropole, dans les secteurs, le Collège possède quelques campus servant à offrir une éducation respectable à ceux ne pouvant simplement pas vivre l’utopie métropolitaine.
D’un point de vue politique, le mouvement collégial tend à attirer majoritairement de jeunes savants idéalistes souhaitant percer les mystères du monde et ouvrir les portes du futur pour leurs collègues en recherche. Par conséquent, le collège possède une certaine influence dans des sphères précises et restreintes de la société, mais gagne peu à peu du terrain à mesure que leurs membres se démarquent ou qu’ils associent leur nom à de grandes découvertes.
Récemment, le Collège gagna un peu plus d’influence dans le Sénat, ayant quelques sénateurs de leur côté et s’étant associé à la faction du mouvement social.
Philosophie :
La philosophie du Collège est basée sur l’avancement sans limite de la connaissance humaine. Ils jugent que les barrières et les limites de la moralité et de l’éthique sont des entraves à l’avancement de l’humanité.
Les savants du Collège se voient comme les pionniers de la science, de toutes les sciences. Aux yeux des étudiants du Collège, toute connaissance est bonne à avoir et toute science mérite le respect qui lui est dû. Ils prônent donc une communauté scientifique forte et unie, mais dont les différences permettent un choc des idées constant. Car le progrès vient à travers l’adversité.
Plus philosophiquement, le cœur du collège croit que l’Homme se démarque de la bête par sa compréhension et ses idéaux et, par conséquent, pousse fortement sur l’idéal de la supériorité humaine sur le monde naturel. Ils voient l’humanité comme les dignes successeurs des Anciens et qu’ils sont nés afin de percer les mystères divins du monde.
À leurs yeux, une vie est une ressource comme une autre utilisable afin d’accomplir le grand objectif collégial. Le résultat, le gain de nouvelles connaissances et le gain du contrôle sur le monde naturel sont importants par-dessus tout. Le scientifique qui s’encombre de sa foi en quelque pouvoir supérieur ou d’une éthique trop rigide ne fait que se limiter et ainsi trainer l’humanité dans la boue d’où elle s’est extirpée il y a si longtemps. Car chaque individu possède un devoir envers sa race de transformer son existence en quelque chose de positif et de productif.
Mais, le Collège croit aussi que cet apport à la société doit venir de lui-même et ne peut pas être forcé sans risquer de ternir l’apport et de potentiellement infecter le bassin de la sagesse commune avec un travail incomplet ou faux. La rigueur vient du choix et de la volonté d’aller vers la vérité, non pas du travail forcé et de l’ingérence de ceux au-dessus. Il est important de noter que cette vision de la liberté de choix est généralement restreinte à l’Homme. Les bêtes, les créatures et les esprits n’étant vus que comme du matériel de recherche, des sujets de test ou de vulgaires animaux.
Le Collège prône aussi très fortement une approche pratique et personnelle aux choses. Il est même écrit dans le premier manuel remis à tous collégiens «La connaissance s’acquiert par l’expérience, tout le reste n’est que de l’information.». Ainsi, le fait de faire soi-même ses expériences est très bien vu.
Organisation :
Le Collège est dirigé par un conseil d’administration dont les membres sont élus par le corps étudiant et enseignant. À la tête du conseil, seul membre permanent, se trouve le Doyen. Historiquement, depuis la fondation du collège, le doyen fut toujours de la même famille, la très discrète, mais influente famille Kireyev. Le doyen de la famille Kireyev siège aussi au conseil comme Sénateur et ne passe pas inaperçu, les membres de la famille étant porteurs d’une grave déformation génétique devant être constamment cachée derrière un masque et d’amples robes.
Par la suite, le Collège est peuplé de comité et de département de recherche servant à organiser la quête de savoir perpétuelle de ses membres. Les trois rangs existants sont ceux d’étudiant, de chercheur et de professeur.
L’étudiant est le client du collège, celui qui reçoit un apprentissage et offre compensation en retour.
Le chercheur est l’étudiant qui souhaite activement participer au développement collégial et entreprend de devenir assistant de recherche dans les projets des professeurs.
Le professeur est celui qui offre l’éducation tout en avançant des projets de recherche au nom du collège.
Ensuite, ce qui distingue deux personnes de même rang est leurs tâches, leurs responsabilités et leur participation aux divers comités.
Il existe aussi un département unique en son genre, le département de révision scientifique. Leur rôle est de vérifier et réviser les thèses et recherches déposées par les membres du Collège et de distribuer l’information de façon limitée sous la forme d’une revue scientifique trimestrielle. Ils gèrent aussi les demandes d’informations.
Spiritualité :
Bien que le Collège proclame haut et fort qu’ils ne se plieront devant aucun esprit, homme ou créature, ils n’en restent pas moins un mouvement spirituel. L’exception est qu’ils placent leur foi dans une quête perpétuelle du savoir et dans le potentiel humain.
Ils croient fermement que l’Homme est né pour dominer et que l’Homme devrait être le maître des bêtes et des esprits et non pas l’inverse. Par conséquent, leur relation avec les esprits et les regroupements qui les vénèrent sont très houleuse, pour ne pas dire hostile.
Même les moins fervents suivants de la doctrine du Collège s’accordent pour dire que l’importance est dans le résultat et que le moyen utilisé est secondaire. Si pour sauver le monde, il est nécessaire de tuer une personne ou enchaîner un esprit, alors il s’agit d’un petit prix à payer. C’est dans ce paradigme que virent le jour deux nouvelles sciences, la paratechnologie et l’occultisme, aussi appelé magie noire par ses détracteurs.
La paratechnologie étant, par définition, une science qui utilise la logique et les lois de la nature afin de plier le monde surnaturel à la volonté de l’Homme. Quant à la magie noire, il s’agit de la philosophie collégiale de domination humaine sur la nature appliquée aux principes fondamentaux des diverses formes de magies observées. Créant ainsi une magie d’origine humaine au service de l’humanité.
Le collège et les esprits :
Le collège fait des recherches sur le monde spirituel afin de le quantifier et qualifier son existence. Pour ce faire, ils doivent se procurer des sujets de test, car l’une des seules façons d’étudier l’Éther est via ses habitants, les esprits. Pourtant, la chasse aux esprits et toute forme d’expériences pouvant être jugées «souffrantes» pour les esprits sont illégales. Que faire?
Simple! Depuis la création de l’Article 7.4 du Code de Loi métropolitaine il y a de ça plus de deux cents ans, le collège travaille uniquement avec des sujets de test d’origine démoniaque. Ceux-ci n’étant pas couverts par la protection de l’Article 7.4 et étant généralement dangereux ou nuisibles, le collège les chasse et les étudie dans les règles de l’art, permettant à la science d’avancer tout en rendant un service considérable à la communauté.
Le collège nie et agis contre toute utilisation de spécimens non corrompus et ne recommande pas pas l’étude des spécimens intrusifs, sauf en cas très précis, ceux-ci étant volatiles et dangereux.
Couleur : Les membres du collège portent les couleurs blanc et mauve. Le blanc tend souvent vers des tons de gris et d'argent.
Société et politique :
Avant tout une institution d’éducation supérieure, l’université métropolitaine, le collège possède une place de choix dans la société. Pour une modique somme, ils donnent les enseignements nécessaires à la formation des plus savants ingénieurs et chimistes de la Métropole. Une éducation du Collège signifie une expertise et un savoir-faire supérieur, parfois au coût d’une éthique douteuse.
Le Collège possède un bâtiment principal à l’intérieur de la Métropole d’où sont administrées les affaires quotidiennes. Dans ce bâtiment siège le doyen, le descendant du fondateur du Collège ainsi qu’un conseil d’administration composé de membres élus.
En dehors de la Métropole, dans les secteurs, le Collège possède quelques campus servant à offrir une éducation respectable à ceux ne pouvant simplement pas vivre l’utopie métropolitaine.
D’un point de vue politique, le mouvement collégial tend à attirer majoritairement de jeunes savants idéalistes souhaitant percer les mystères du monde et ouvrir les portes du futur pour leurs collègues en recherche. Par conséquent, le collège possède une certaine influence dans des sphères précises et restreintes de la société, mais gagne peu à peu du terrain à mesure que leurs membres se démarquent ou qu’ils associent leur nom à de grandes découvertes.
Récemment, le Collège gagna un peu plus d’influence dans le Sénat, ayant quelques sénateurs de leur côté et s’étant associé à la faction du mouvement social.
Philosophie :
La philosophie du Collège est basée sur l’avancement sans limite de la connaissance humaine. Ils jugent que les barrières et les limites de la moralité et de l’éthique sont des entraves à l’avancement de l’humanité.
Les savants du Collège se voient comme les pionniers de la science, de toutes les sciences. Aux yeux des étudiants du Collège, toute connaissance est bonne à avoir et toute science mérite le respect qui lui est dû. Ils prônent donc une communauté scientifique forte et unie, mais dont les différences permettent un choc des idées constant. Car le progrès vient à travers l’adversité.
Plus philosophiquement, le cœur du collège croit que l’Homme se démarque de la bête par sa compréhension et ses idéaux et, par conséquent, pousse fortement sur l’idéal de la supériorité humaine sur le monde naturel. Ils voient l’humanité comme les dignes successeurs des Anciens et qu’ils sont nés afin de percer les mystères divins du monde.
À leurs yeux, une vie est une ressource comme une autre utilisable afin d’accomplir le grand objectif collégial. Le résultat, le gain de nouvelles connaissances et le gain du contrôle sur le monde naturel sont importants par-dessus tout. Le scientifique qui s’encombre de sa foi en quelque pouvoir supérieur ou d’une éthique trop rigide ne fait que se limiter et ainsi trainer l’humanité dans la boue d’où elle s’est extirpée il y a si longtemps. Car chaque individu possède un devoir envers sa race de transformer son existence en quelque chose de positif et de productif.
Mais, le Collège croit aussi que cet apport à la société doit venir de lui-même et ne peut pas être forcé sans risquer de ternir l’apport et de potentiellement infecter le bassin de la sagesse commune avec un travail incomplet ou faux. La rigueur vient du choix et de la volonté d’aller vers la vérité, non pas du travail forcé et de l’ingérence de ceux au-dessus. Il est important de noter que cette vision de la liberté de choix est généralement restreinte à l’Homme. Les bêtes, les créatures et les esprits n’étant vus que comme du matériel de recherche, des sujets de test ou de vulgaires animaux.
Le Collège prône aussi très fortement une approche pratique et personnelle aux choses. Il est même écrit dans le premier manuel remis à tous collégiens «La connaissance s’acquiert par l’expérience, tout le reste n’est que de l’information.». Ainsi, le fait de faire soi-même ses expériences est très bien vu.
Organisation :
Le Collège est dirigé par un conseil d’administration dont les membres sont élus par le corps étudiant et enseignant. À la tête du conseil, seul membre permanent, se trouve le Doyen. Historiquement, depuis la fondation du collège, le doyen fut toujours de la même famille, la très discrète, mais influente famille Kireyev. Le doyen de la famille Kireyev siège aussi au conseil comme Sénateur et ne passe pas inaperçu, les membres de la famille étant porteurs d’une grave déformation génétique devant être constamment cachée derrière un masque et d’amples robes.
Par la suite, le Collège est peuplé de comité et de département de recherche servant à organiser la quête de savoir perpétuelle de ses membres. Les trois rangs existants sont ceux d’étudiant, de chercheur et de professeur.
L’étudiant est le client du collège, celui qui reçoit un apprentissage et offre compensation en retour.
Le chercheur est l’étudiant qui souhaite activement participer au développement collégial et entreprend de devenir assistant de recherche dans les projets des professeurs.
Le professeur est celui qui offre l’éducation tout en avançant des projets de recherche au nom du collège.
Ensuite, ce qui distingue deux personnes de même rang est leurs tâches, leurs responsabilités et leur participation aux divers comités.
Il existe aussi un département unique en son genre, le département de révision scientifique. Leur rôle est de vérifier et réviser les thèses et recherches déposées par les membres du Collège et de distribuer l’information de façon limitée sous la forme d’une revue scientifique trimestrielle. Ils gèrent aussi les demandes d’informations.
Spiritualité :
Bien que le Collège proclame haut et fort qu’ils ne se plieront devant aucun esprit, homme ou créature, ils n’en restent pas moins un mouvement spirituel. L’exception est qu’ils placent leur foi dans une quête perpétuelle du savoir et dans le potentiel humain.
Ils croient fermement que l’Homme est né pour dominer et que l’Homme devrait être le maître des bêtes et des esprits et non pas l’inverse. Par conséquent, leur relation avec les esprits et les regroupements qui les vénèrent sont très houleuse, pour ne pas dire hostile.
Même les moins fervents suivants de la doctrine du Collège s’accordent pour dire que l’importance est dans le résultat et que le moyen utilisé est secondaire. Si pour sauver le monde, il est nécessaire de tuer une personne ou enchaîner un esprit, alors il s’agit d’un petit prix à payer. C’est dans ce paradigme que virent le jour deux nouvelles sciences, la paratechnologie et l’occultisme, aussi appelé magie noire par ses détracteurs.
La paratechnologie étant, par définition, une science qui utilise la logique et les lois de la nature afin de plier le monde surnaturel à la volonté de l’Homme. Quant à la magie noire, il s’agit de la philosophie collégiale de domination humaine sur la nature appliquée aux principes fondamentaux des diverses formes de magies observées. Créant ainsi une magie d’origine humaine au service de l’humanité.
Le collège et les esprits :
Le collège fait des recherches sur le monde spirituel afin de le quantifier et qualifier son existence. Pour ce faire, ils doivent se procurer des sujets de test, car l’une des seules façons d’étudier l’Éther est via ses habitants, les esprits. Pourtant, la chasse aux esprits et toute forme d’expériences pouvant être jugées «souffrantes» pour les esprits sont illégales. Que faire?
Simple! Depuis la création de l’Article 7.4 du Code de Loi métropolitaine il y a de ça plus de deux cents ans, le collège travaille uniquement avec des sujets de test d’origine démoniaque. Ceux-ci n’étant pas couverts par la protection de l’Article 7.4 et étant généralement dangereux ou nuisibles, le collège les chasse et les étudie dans les règles de l’art, permettant à la science d’avancer tout en rendant un service considérable à la communauté.
Le collège nie et agis contre toute utilisation de spécimens non corrompus et ne recommande pas pas l’étude des spécimens intrusifs, sauf en cas très précis, ceux-ci étant volatiles et dangereux.